• RESUME DE L'EPISODE PRECEDENT:


    Un meurtre crapuleux a été commis. L'inspecteur Manchot, spécialiste des enquêtes idiotes et inutiles, en est informé par son supérieur et se rend sur le lieu du crime. Que s'est-il passé?! The suspense is very insoutenèbeul.






     


    L'inspecteur Manchot arriva sur le lieu du crime.Son adjoint, Gaston Bépartèr, était déjà là. Il s'agissait d'un ancien militaire à la retraite, un peu dérangé, mais qui s'était engagé bénévolement dans la police pour assouvir à nouveau son goût de l'ordre. C'était d'ailleurs son bénévolat la seule raison pour laquelle il avait été pris, parce que les recrues étaient rares, et son niveau intellectuel avoisinait celui de la moule bretonne.
    - Chef, dit Gaston, qui, à l'armée comme dans la police, vouait une admiration immense pour ses supérieurs, le cadavre est là. Vous devriez venir voir.
    L'inspecteur se dirigea vers le cadavre, entouré d'une vingtaine de policiers affairés à relever des empreintes, à chercher des indices où à parler du coup de boule de Zidane. Le mort était là, avec sur le visage un rictus effrayant sur lequel on pouvait lire "aïe". Ou quelque chose du genre.
    - Horrible, n'est-ce pas? dit Gaston.
    - Horrible?! C'est affreux! Porter une chemise verte et un pantalon rose...
    - Je parlais du corps.
    - Hm? Ah oui.
    - On l'a identifié: c'est le professeur Héloir: il a été étranglé avec du fil de fer barbelé peint en rose. Horrible...
    - Bouof, j'en ai vu d'autres. Le chef-de-chantier-psychopathe de 19 mars 87 m'avait plus dégoûté que cela.
    - Le chef-de-chantier-psychopathe?! Qu'est-ce qu'il faisait?
    - Que vouliez-vous qu'il fasse avec un rouleau compresseur?
    - Blurp.
    - Je vous le fais pas dire. On a des indices?
    - Les experts y travaillent, dit Gaston en désignant ceux qui parlaient du coup de boule de Zidane.
    - Vous me réveillez ces salopards. Moi je vais mener mon enquête. Professeur Héloir, hmm? Je vais voir ça.
    L'inspecteur s'éloigna du lieiu du meurtre. Mais, dans l'ombre, un homme mystérieux habillé en robe jaune à pois verts l'observait...


    A SUIVRE...


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  • RESUME DE L'EPISODE PRECEDENT:



    Un meurtre mystérieux a eu lieu dans la grande ville Hénie, dans la rue Dimantaire. En pleine nuit, un homme poursuivi par un mystérieux individu s'est fait sauvagement tuer avec méchanceté et avec du fil de fer barbelé. Qui était-ce? Pourquoi a-t'il été tué? Et pourquoi les lieux portent-ils des noms calembouresques foireux? Ahâââ...










     



    Quelques part dans un des bars mals famés de la ville, l'inspecteur Manchot prenait un verre de Diabolo menthe, tout en observant du coin de l'oeil une danseuse tenant un mystérieux magazine dans la main. Voilà plusieurs semaines qu'il enquêtait sur un trafic illégal de revues osées, celui-la même que Tintin avait tenté de démanteler dans une de ses aventures, nommée "Chocs en stock". Soudain, son portable retentit d'une sonnerie à faire pleurer les squelettes de Mozart et Beethoven puisqu'il s'agissait d'un morceau de Wagner réarrangé à la sauce hip-hop-hotame par le groupe "les démons de 23h30". L'inspecteur décrocha et prononça "ch'est qui", puisqu'il avait pris un chewing-gum à la chlorophylle pour se donner des airs de dur à cuire.
    - Ichi ch'est le lieutenant Chevepa, répondit le lieutenant Chevepa, oui car c'était lui, il n'avait pas de chewing-gum à la chlorophylle par contre, il parlait ainsi depuis qu'une rixe avec son épouse avait contraint son médecin à lui faire une ablation partielle de la langue, pour éviter que les vingt-quatre cure-dents que sa promise avait plantés dans son organe gustatif n'infectent la victime.
    - Qu'est-ce que vous me voulez? répondit l'inspecteur Manchot, qui avait jeté entretemps son chewing-gum à la poubelle. Je suis en pleine mission là...
    - Oubliez les revues ojées. On a du lourd! On a retrouvé un cadavre dans la rue Dimantaire. A première vue che cherait le profecheur Héloir, qui avait dichparu depuis avant-hier. Il a été machacré avec chauvagerie: on l'a étranglé avec du fil de fer barbelé peint en roje. Horrible, n'est-che pas? Allez chur les lieux: vos collègues y chont déjà. En tout cas je compte chur vous pour trouver qui ch'est qui a fait cha: une choje pareille cha chent la groche affaire!
    - D'accord patron.
    L'inspecteur raccrocha. Enfin une grosse affaire! Les revue osées allaient attendre. Ce qui n'empêcha pas l'inspecteur de songer à celle qu'il avait dans sa voiture, "Hayamzekingofsex", le numéro spécial JLA ("Jeunes Lycéennes Accroupies").



    Comment allait-il dissimuler ça à sa femme?



    Réponse à ce suspense insoutenable dans le prochain épisode.



    A SUIVRE...



    PS: nous sommes en juillet, il fait beau, il fait chaud, et Oldi part en vacances du 8 au 15... il vous faudra donc attendre un peu pour connaître la suite! En attendant, laissez des commentaires SVP, que j'aie pas l'impression d'écrire pour des prunes... Et pour ceux qui voudraient me contacter directement, reagrdez dans la rubrique "moi", je viens d'y mettre ma nouvelle toute belle adresse e-mail! N'hésitez pas! Et à plus!


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  • RESUME DE L'EPISODE PRECEDENT:


    Cet épisode est le premier de la série, il n'y a donc pas d'épisode précédent. L'auteur va donc utiliser cet espace à bon escient pour passer un message personnel: Juju, j'ai une petite pensée pour toi, toi qui es à l'autre bout du monde en plein milieu de la jungle amazonienne, poursuivi par les indiens Jivaros qui veulent te faire la grosse tête en attendant de t'en faire une petite. Juju, s'il te plaît, rentre vite chez toi, tu as laissé le robinet ouvert et comme ton appartement est situé au-dessus du mien, l'eau commence à dégouliner sur mon ordinateur, Juju, rentre. Vite.
    Voilà, c'est bon. Nous pouvons commencer.







    La nuit était tombée sur la ville... elle ne pensait pas se relever avant un bon quart d'heure quand soudain, quelque part dans un quartier de la ville, je sais pas trop où, j'ai jamais été bon en géographie, je connais même pas le nom de la ville, et puis arrêtez de m'interrompre c'est déjà assez compliqué comme ça. Dans un quartier que nous nommerons le quartier Jacques (Jacques Cartier, ouaf ouaf ouaf, c'est trop de la balle, dis-donc avec Oldi on rigole bien, hé hé hé) de la ville que nous appellerons la ville Hénie (villenie! ouaf ouaf ouaf! Z'avez remarqué le super calembour? hin hin hin ho ho ho hu hu hu!!), bref un homme courait dans la rue Dimantaire (ha ha ha ho ho trop fort mais comment je fais?!) et il allait vite, à une vitesse élevée étant donné qu'il n'allait pas lentement du tout. Soudain il trébucha sur une branche (dont on se demandait bien ce qu'elle f...tait là à 5 kilomètres de l'arbre le plus proche, mais bon, c'est un détail essentiel pour l'histoire). L'homme s'étala par terre et ne put qu'apercevoir une silhouette menaçante (au fait savez-vous d'où  vient le mot silhouette? Il vient d'Etienne de Silhouette, ministre des finances au XVIIème siècle qui... comment ça je fais ch... avec mes parenthèses? D'accord, j'arrête, bande d'incultes)s'approcher de lui, tenant fermement entre ses mains du fil de fer barbelé, vous savez les trucs qu'on utilise pour que les vaches restent brouter dans l'herbe qui leur est réservée plutôt que de les laisser galoper sur les routes, les chemins de fer ou les gens. L'homme étalé par terre eut un frisson d'horreur...
    - Noooon!!! s'écria-t'il (bin oui, vous vous attendiez quand même pas qu'il dise: oh un monsieur agressif avec du fil de fer barbelé dans les mains!!! Mon rêve!!! Viens là que je t'embrasse!!!)


    Le silence retomba sur le quartier, à la grande joie des voisins qui se levaient tôt le lendemain et qui auraient bien voulu dormir sans qu'on leur hurle dans les oreilles durant des heures.


    A SUIVRE...


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