• Rubis sur l'ongle

    ATTENTION! Un message très important, chers internautes, vous attend à la fin de cet article. Vous pouvez aller voir tout de suite si vous voulez, mais si vous pouviez lire le texte avant, vous y serez tout de même gagnants, non? ^^

     


     

    RESUME DES EPISODES PRECEDENTS:

    Oldi et Kaito ayant échappé de peu à la mort suite au naufrage du T2, ils doivent se mettre en quête d'un rubis pour pouvoir préparer la potion magique censée délivrer Oldi de la malédiction qui pèse sur lui...

     


     

         Ouste/Fichez-moi le camp/Zou/Du balai/Dehors/Que je ne vous revoie plus/Allez faire vos farces ailleurs/Dégagez, espèces de plaisantins/loustics/petits c***/pitres/jocrisses/gibiers de potence.

         Une phrase mystérieuse que celle ornant ce début d'article, vous en conviendrez. Il s'agissait toutefois de la manière la plus fonctionnelle de présenter en intégralité les réponses faites à Oldi et Kaito lorsque ceux-ci firent la même demande dans toutes les bijouteries du village de Salulémec, où les secours les avaient aimablement déposés suite à leur mésaventure sur le T2. Que ce soit chez le plus aristocrate des joaillers au plus mécréant des dirigeants de supermarchés, tous avaient eu à peu de chose près la même réfutation à la bouche lorsque les deux jeunes hommes les avaient questionnés sur l'éventuelle possibilité de se procurer un gros rubis à moindre frais.

         - Encore raté, soupira Oldi en s'acroupissant aux côtés de son ami sur le bas-côté, en face de la porte d'entrée de la bijouterie Licourier, la douxième de l'heure à les avoir malproprement renvoyés. C'est incroyable qu'il soit impossible de louer un rubis, ne serait-ce qu'une heure! J'ai rarement vu un tel incivisme.
         - Remarque, je les comprends, rétorqua son compagnon. Un rubis, c'est pas rien, tout de même... mais je dois admettre que c'est à peine moins dur d'arriver à se procurer un rubis que de voir Pluton à l'oeil nu, ou de dénicher une carte d'adhérent au Parti Communiste de Jean-Marie Le Pen. La question maintenant, c'est d'arriver à trouver comment acquérir un rubis, sachant que toutes les bijouteries de la planète nous claqueront la porte au nez dès qu'on annoncera à leurs propriétaires qu'on a à peine assez d'argent pour se payer un demi bol de soupe...
         - J'ai une idée! dégoisa Oldi, levant son index au ciel. On va faire du brainstorming. On pense à n'importe quoi, et après on trouve de super idées. Par exemple, euuuh... tiens, ce journal, là, qui traînait par terre. Je suis sûr que la une contient largement assez de texte pour faire fructifier les trouvailles... voyons voyons...

         Il se trouvait malheureusement que la une du journal était consacrée au naufrage du T2, une affaire que, malheureusement, les deux compagnons avaient suivi d'assez près pour savoir qu'il n'y aurait plus moyen de se procurer le moindre rubis ayant un quelconque rapport avec le navire, navire qui gisait actuellement en plein Atlantique au plus profond d'un abysse lugubre. Complètement dépité, n'ayant même pas remarqué que lui et son compagnon faisaient la une, Oldi bazarda le quotidien derrière lui d'un geste viril et précis, à mi-chemin entre le spasme coutumier de l'épileptique chronique et la gesticulation géométrique de l'androïde extrinsèque, et le laissa choir sur le macadam humide dans un schlaff sépulcral tandis qu'il s'arquepinçait résolument l'arête du nez dans un geste de profond désespoir. Son compagnon, loin d'être aussi défaitiste, ramassa l'imprimé orphelin et se mit à le feuilleter flegmatiquement. Soudain, un article en page sept capta son attention. La photographie ornant le dit article, ou plus précisément la jeune femme qui y figurait, avait éveillé en lui une tenace réminiscence. Il avait déjà vu cette femme, avec sa démarche pincée, ses tenues grotesques et son visage au sourire artificiel évoquant le chimpanzé de laboratoire lors de la vérification hebdomadaire de sa température anale... Ah! Bien sûr, il s'agissait de London Mercury, riche héritière de la chaîne d'hôtels du même nom. Présentée par quelques-uns comme l'apogée de l'évolution, dénigrée par tous les autres, ces derniers considéraient à juste titre que la star aurait vécu sa vie exactement de la même manière si on l'avait amputée des deux bras à la naissance, tellement elle n'avait jamais rien fait de ses dix doigts. Pour le principe, et en guise de compassion avec l'infortuné journaliste ayant été forcé de composer sur un tel sujet, Kaito entama la lecture de l'article.

         C'est demain qu'arrivera dans notre village la célèbre London Mercury, riche héritière de la chaîne d'hôtels du même nom. En effet, la célèbre vedette des magazines people a entrepris un "pèlerinage" de son Angleterre natale jusqu'au petit village auvergnat de Lataha-sur-Rémec, où elle doit rencontrer le petit Julien, orphelin de 4 ans qu'elle a prévu d'adopter. Une action qu'elle a désigné comme étant "un geste fort envers les pays défavorisés". Une déclaration surprenante, la France étant loin d'être un pays sous-développé; toutefois, il semblerait que London Mercury soit persuadée du contraire, ayant affirmé récemment au célèbre journal anglais The Times qu'elle avait été scandalisée en apprenant "qu'il existe outremer un pays si misérable que ses habitants sont obligés de manger des escargots et des grenouilles pour survivre". Profonde bêtise ou innocente boutade? Qu'importe! Le fait est là: la riche héritière, désireuse de faire oublier ses extravagances passées, ambitionne de se rapprocher du bas-peuple.

         Une envie qui se confirme lorsque l'on voit comment va se dérouler le voyage de la star, puisque celle-ci, après être passée par notre pittoresque village de Salulémec, prendra le train jusqu'à sa destination. N'est-ce pas signe de repentance, que de prendre simplement le train du paysannat alors que l'on dispose de plus de quinze jets ultramodernes à usage privé? Un voyage "traditionnel", qui, selon le psychiatre de la star, devrait quelque peu parvenir à la reconnecter avec la réalité, lien fragile que sa richesse astronomique n'a cessé de faire disparaître au cours du temps. On se souvient en effet que London Mercury a régulièrement défrayé la chronique avec ses extravagances de multimilliardaire. Que ce soit ses parties de golf dans la réserve naturelle de Yellowstone, ou sa bronzette de l'été dernier sur une terrasse aménagée au sommet de Big Ben: London Mercury a de l'argent et tient à le montrer aux populaces de toute la planète. Aujourd'hui encore, la star ne peut plus se déplacer sans porter, entre autres, son collier de perles d'huîtres Indonésiennes ou son vernis à ongles composé à base de rubis réduits en poudre.

         Riche mais humaniste, au bout de son voyage, la riche héritière a promis de faire un don aux habitants de la bourgade de Lataha-sur-Rémec, don qui ira évidemment en grande partie à l'orphelinat où vit pour une journée encore son futur fils adoptif. Une proposition généreuse, que tous les habitants du village ont bien entendu accepté avec enthousiasme, que ce soit du plus simple des paysans au maire, Philippe O. Suxion.

         Soudain, Kaito stoppa sa lecture passionnée. Quelque chose clochait. Clochait, dans le sens que quelques secondes auparavant, il avait ouï mentalement un modeste dilong-diling alerte. Comme si une petite clochette agitée par quelque ange bienfaiteur avait sonné dans sa tête, tintement providentiel censé l'avertir sur un je-ne-sais-quoi d'important qu'il aurait manqué. Comme un chef de gare qui sifflerait de toutes ses forces de voir un train passer devant les quais sans s'arrêter pour déposer les voyageurs. En fait, c'était une sensation de malaise, comme lorsque que, en lisant un livre, vous trouvez qu'une phrase a un petit quelque chose de gênant, et qu'en relisant très attentivement celle-ci, vous vous rendez compte que le mot central de la dite phrase contient une énorme faute d'orthographe à faire passer Jean-Claude Van Damme pour le rival direct de Bernard Pivot. Décidé bien qu'un brin sceptique, Kaito relut la fin du paragraphe précédant celui qu'il venait d'entamer, lisant avec attention chaque mot, allant presque jusqu'à l'épeler mentalement. Soudain, il vit. Rubis.

         Il montra le journal à son compagnon quasi-dépressif, lequel esquissa un pas de danse.

         Le lendemain matin, alors que l'aube blafarde éclairait peu à peu la cambrousse tranquille, une grande agitation régnait sur le quai de la gare de Salulémec. La petite station de campagne, réputée si paisible, était complètement défigurée, dénaturée par la venue de London Mercury. Même si la star n'était pas encore arrivée, tout avait été organisé pour sa venue dans la petite bourgade; inutile de dire qu'Oldi et Kaito eurent bien du mal à se frayer un passage entre les populaces hystériques pour parvenir jusqu'aux quais. Le désordre était encore pire que ce qu'ils avaient pu imaginer: la large cour à ciel ouvert tenant lieu de débarcadère était à présent scindée en trois parties. Deux d'entre elles, disposées symétriquement, étaient composées ni plus ni moins des dizaines, des centaines de croquants venus voir la star pailletée. Une bonne moitié des gueux venaient admirer de tous leurs yeux ce qu'ils considéraient comme la femme parfaite(1), du moins telle qu'elle était décrite dans les médias lèche-culs qui florissaient dans tous les kiosques à journaux du pays. L'autre moitié, des citadins mieux informés, attendaient avec impatience l'occasion de balancer à la blondasse bineuronale quelques fruits en état de décomposition plus qu'avancée, voire, faute de mieux, une ou deux brouettes d'onomatopées et métaphores colorées.

         Quand à la dernière partie du quai à présent scindé, elle était vide de monde, et pour cause: de solides barrières empêchaient quiconque de la masse de gueux de pénétrer dans cette zone. Pour être précis, il s'agissait d'un "couloir" reliant l'entrée principale de la gare au premier quai. Une fois de plus, le dicton de La Fontaine se vérifiait merveilleusement(2). Tout comme se vérifiait le fait que ce qu'on lit dans les journaux est souvent très éloigné de la réalité.

         Car London Mercury était présentée comme humble et simple, du fait qu'elle prenait le train. Sauf que le train stationné sur le quai n'avait rien du vulgaire transport en commun. Composé d'une locomotive à vapeur (en fait, une locomotive électrique tentant d'imiter son ancêtre à charbon) crachotant sa fumée irritante et d'un seul et unique wagon, le convoi était, n'ayons pas peur des mots, une torture pour les yeux. Si la fausse locomotive pouvait encore s'en tirer avec classe, il n'en était pas de même pour le wagon, d'un esthétisme plus que douteux, pour parler poliment. Aux tons dorés pompeux et décoré de petites fleurs roses, il ne comportait aucune fenêtre: une fantaisie imposé par la pudeur de la star, bien que toute personne sensée répugnerait à lorgner à l'intérieur du wagon, craignant que l'intérieur soit décoré de la même manière que l'extérieur. Comble du mauvais goût le plus flagrant combiné à une bonne dose d'égocentrisme forcené, le long de la paroi se découpait la phrase "I LOVE MYSELF", déclaration abjecte de suffisance dont le plus extatique des anglophones refuserait catégoriquement d'énoncer la traduction.

         - Quelle horreur, résuma Kaito en lorgnant l'abomination. On pourrait peut-être lui échanger son vernis à ongles en échange d'un neurone de chacun de nous, ça la rendra trois fois plus intelligente.
         - L'idée est tentante, mais, hélas! Je crains qu'elle n'accepte pas. En attendant, ça n'arrange pas nos affaires. Dans un instant d'euphorie, j'ai cru que cette quiche ferait preuve d'humilité et se mêlerait au bas-peuple... mais ça va être difficile de lui chaparder son produit de beauté si elle voyage dans ce coffre-fort à roulettes. Chaise, armoire, commode Louis XV, lit à baldaquin(3). Il faudrait trouver un moyen d'entrer à l'intérieur... mais comment?

         Tout en disant cela, Oldi observait la gare de manière panoramique, cherchant une idée en observant les ouailles hystériques. Soudain, deux personnages attirèrent son attention, ceux-ci se différenciant des autres gueux tout simplement parce qu'ils ne bougeaient pas d'un poil. Accoudés à un mur de la gare, il s'agissait de deux hommes, type gardes du corps, revêtus chacun d'une combinaison rose. Du même rose que celui présent sur le train...

         - Dis-moi, Kaito, une séance de déguisement plus un voyage en train, ça te dit?

     

     

    (1) Ca peut sembler bizarre, mais bon, on est au fin fond de la campagne bretonne. Les attractions sont rares, on se contente de peu.


    (2) Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. En gros, nous sommes tous égaux, mais certains sont largement plus égaux que les autres. Dicton qui devient de plus en plus d'actualité au fur et à mesure qu'il vieillit.


    (3) Ne faites pas attention, j'ai mis ça pour meubler la conversation.

     



    CONFERENCE DE PRESSE ORGANISEE PAR OLDI ET KAITO

     

    (le public constitué de fidèles internautes s'installe)

    - LES INTERNAUTES: Bon, pourquoi il nous a fait venir?
    - KAITO: Vas-y, Oldi, dis-leur...
    - OLDI: ...c'est dur...
    - LES INTERNAUTES: Qu'est-ce qu'il va encore nous pondre, l'hurluberlu?
    - OLDI: ...il... aaaah, l'émotion... c'est difficile...
    - LES INTERNAUTES: Euuuuh, mais qu'est-ce qu'il a?!?!
    - OLDI: Ce n'est pas évident à annoncer... ça fait tellement longtemps...
    - LES INTERNAUTES: Il n'essaie quand même pas de nous dire que...?!
    - OLDI: Eh bien, en fait... SI, je...

    BROMOLOMOLOMOLOMOLOMOLOMOLOM... (bruit d'une salle de 500 personnes se vidant en autant de microsecondes)

    - OLDI: Eh ben tu parles d'internautes fidèles! Ils s'ennuient tellement avec moi qu'ils s'en vont avant même que je leur annonce la bonne nouvelle!
    - KAITO: Mais non, rassure-toi! C'est juste qu'à force d'étirer ton annonce en longueur, ils ont déjà tous deviné ce que c'était. Ils n'étaient pas lassés mais pressés! On peut les comprendre: depuis le temps qu'on l'attendait, la mise à jour du site des Chroniques d'Eluna avec l'épisode 3 en tête de gondole!
    - OLDI: Tu veux dire qu'ils sont déjà tous partis sur http://elunachroniques.ifrance.com?
    - KAITO: Sans aucun doute!
    - OLDI: Ah! Ca me rassure. Bon, c'est pas tout ça, on a un vernis à ongles à chouraver.


  • Commentaires

    1
    Kaito
    Jeudi 13 Novembre 2008 à 01:21
    Oh yeah XD !!
    Ca c'est notre Oldi !! Promets du gros pour la suite ça X3 !!
    2
    Pelinore
    Jeudi 13 Novembre 2008 à 12:55
    ouais !!!!
    youpi ! et si le peux ,fous lui un coup de pied dans la figure ,à cette pourri gaté (ou au pire ,un légume pas frais) .Par contre ,y a un problème pour le site d'Eluna :ils mettent que la page est en construction .
    3
    Jeudi 13 Novembre 2008 à 18:33
    c'est normal:...
    ...c'est que la page EST en construction! Cette s******** de plateforme de vidéos bugue et tant que c'est pas fini je pourrai pas mettre le site à jour... il faut espérer que ça ne durera plus longtemps...
    4
    Vendredi 14 Novembre 2008 à 21:56
    Ah!
    Ah, enfin! C'est pas trop tôt. Et vivent les pages en construction!!!!!!! (et si je puis me permettre, j'ai moi aussi fait une MAJ de mon site... *hum* http://illergan-jdra.societeg.com . ALLEZ Y, c'est un ordre!)
    5
    Vendredi 14 Novembre 2008 à 23:24
    ah, au fait Goth...
    ...en parlant de ton site, je l'ai mis dans les liens du site d'Eluna ^^
    6
    Pelinore
    Samedi 15 Novembre 2008 à 13:31
    YOUPI !!
    Gloire à oldi !Très bel épisode avec des gags marrant (l'interdiction du suicide c'était poilant)Par contre la qualité sonore empèche de vraiment apprécier les gags ,et ça c'est dommage .Sinon c'est vraiment une très bonne nouvelle ,avec en plus plein de trucs rajoutés avec la mise à jours .Un grand bravo et merci !
    7
    Samedi 15 Novembre 2008 à 14:20
    de rien ^^
    par contre pour le son, je sais que c'est très ch***, mais je crois que je pourrai difficilement faire mieux... j'avais réussi à largement en améliorer la qualité, mais dès que la vidéo passe sur DailyMotion ça échoise et wahwahte à tout bout de champ! Je dois avouer que là, je sèche...
    8
    Pelinore
    Samedi 15 Novembre 2008 à 15:53
    c'est vraiment bien quand même !
    (Question :le titane est plus cher que l'or ? tu confond pas avec le tungstène ?) Sinon trop marrant l'article sur le pofton (surtout les tarifs de choses diverses ^^) . Je viens de voir les 117 Eraskhès ,ça a pas dût être facile d'inventer tout ça !C'est vriament dommage que la comptesse soit morte : une créatrice de créatures démoniaques géniales ,c'était vraiment quelqu'un de bien (enfin dans un certain sens) .J'aurais bien aimé avoir son pouvoir .Niark Niark Niark (rire diabolique et bruit d'éclair en fond sonore)
    9
    Samedi 15 Novembre 2008 à 18:38
    yep!
    bon, pour la question de la préciosité des métaux, j'avais trouvé une "échelle de valeurs", mais j'avais volontairement changé un ou deux trucs: après tout, l'histoire se passe dans un autre monde, il faut bien qu'il y ait une ou deux différences avec le nôtre! Quand à la comtesse, hé oui, elle est morte, mais certaines de ses bestioles sont toujours en vie, et quand Ezan en rencontr... euh, oublie ce que j'ai dit ^^
    10
    Samedi 15 Novembre 2008 à 19:31
    Bravo!
    Bah, tout est dit. Et n'allez pas penser que j'ai la flemme d'écrire plus que ça, hein, pas du tout, d'ailleurs, ça me rappelle l'histoire d'un..... Heing? Ah oui. Bref. Et merci pour le lien ^^ (QUEUOI? Je suis DERNIER!???? Mais ça va pas se passer comme ça, non d'un petit bonhomme!)
    11
    Kaito
    Lundi 17 Novembre 2008 à 20:38
    Et surtout...
    Vivement le n°4 Xd !! Que ce soit dans 1 an et 3 mois ou dans 2 semaines, on l'attendra, crois-moi !! Vivement la prochaine séance d'enregistrement des dialogues :D héhé !! En attendant, on a toujours ton blog qui lui aussi aide bien à attendre X3...
    12
    Kaito
    Vendredi 21 Novembre 2008 à 07:56
    En attendant...
    Qui a une bonne vanne ?
    13
    Pelinore
    Vendredi 21 Novembre 2008 à 17:14
    ben...
    t'as vu la vidéo "Père noël VS Predator" ?Je la trouve plutot marrante . Sinon je suis tomber sur un site de parodies assez sympa :http://state-alchemist.blog.jeuxvideo.com/home/ .sinon :une blonde et une brune saute d'un immeuble en même temps .Qui arrive en bas en première ?
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    14
    Kaito
    Samedi 22 Novembre 2008 à 11:14
    Well...
    Pour la vidéo nan, jamais vu par contre je connais déjà StateAlchemist (un excellent parodiste qui arrive clairement au moins aux épaules du dieu parodique-doubleur Mozinor) et j'encourage tout ceuxqui lisent ces lignes d'aller watcher son site !! Pour revenir à la blague... euh... chais pas, laquelle ?
    15
    Samedi 22 Novembre 2008 à 17:47
    La Brune!
    La Brune parc que la blonde s'est arrêtée pour demander son chemin!
    16
    Pelinore
    Samedi 22 Novembre 2008 à 18:28
    (se tourne vers goth) ahah !
    Je vois que j'ai affaire à un connaisseur .Que doit-on faire quand une blonde vous envoie une grenade ? (pour kaito:"http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18601774&cfilm=111098.html")
    17
    Kaito
    Dimanche 23 Novembre 2008 à 11:25
    Ah... c'est dans ces moments que je me sens vieillir, tiens...
    Moi, les vannes blondes, ya longtemps que je les ai plus entendus, donc, j'vais laisser Goth, répondre encore une fois... Pour Pelinore : LOL la vidéo XD...
    18
    Pelinore
    Jeudi 25 Décembre 2008 à 22:48
    HO HO HO !!!!!
    joyeux noël à tout les visiteurs de ce blog ! ho ho ho !
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