• - Code Lyoko

    Code Lyoko est un dessin animé qui... bon, par où commencer?

    Voyons le scénario. Quatre ados, Yumi, Jeremie, Odd et Ulrich, découvrent au fin fond d'une usine abandonnée un superordinateur qui gère un monde virtuel appelé Lyoko, composé de 4 territoires: la montagne, le désert, la forêt et la banquise. Via des scanners taille XXL, ils peuvent se transférer sur Lyoko et jouer de folles parties contre les monstres du jeu... comme un jeu vidéo mais en 1000 fois plus perfectionné.

    Mais, comme on pouvait s'y attendre, il y a un problème: un programme nommé XANA a été victime d'un bug et croit désormais que les humains sont ses pires ennemis... là où ça devient inquiétant, c'est que sur Lyoko se trouvent des bâtiments appelés Tours, et ces tours permettent à XANA d'agir sur le monde réel à partir du monde virtuel...

    Pour éviter cela, il suffirait de débrancher l'ordinateur, et hop, bye bye XANA! Mais sur Lyoko se trouve une créature virtuelle, Aelita, qui serait détruite avec le débranchement. Pour éviter cela, Jeremie, génie en informatique, essaye de trouver un programme pour matérialiser Aelita dans le monde réel et ainsi débrancher sans ennuis le supercalculateur psychopathe - ce qu'il arrive à faire, mais non sans problème, à la fin de la saison 1.

    En attendant, quand XANA attaque, il n'y a pas d'autre choix que de le combattre... se tranférant sur Lyoko, les adolescents recherchent la tour infectée, ce qui n'est pas une mince affaire puisque XANA contrôle les monstres virtuels et n'hésite pas à déployer toutes ses troupes contre les héros... quand Aelita atteint une tour, elle y entre et tape le code de débuggage: "Lyoko" (d'où le titre). S'opère alors un "retour vers le passé", un retour dans le temps qui permet d'effacer des mémoires toute trace d'activité Xanaiesque.

    Voilà pour l'histoire. Et sinon, question technique, il faut savoir que dans le monde "réel", c'est un dessin animé tout ce qu'il y a de plus normal, mais une fois dans le monde virtuel, il est fait en images de synthèse, ce qui rajoute un côté plutôt plaisant. Enfin, sans que toutefois cela passe pour du patriotisme, je signale que ce dessin animé est français, ce qui n'est pas si mal puisque, dans ce domaine, la France avait du mal à rattraper son retard face aux productions japonaises ou américaines.

    Pour plus d'informations, voilà un site très bien sur le sujet, www.codelyoko.fr, qui est actuellement indisponible en raison de mises à jour ou je sais pas quoi.