Hé oui, aujourd'hui nous sommes le... le... gné? Le 15 mars? Bon, pour ceux qui n'ont pas confondu le calendrier des postes avec le papier toilette, nous sommes... le 31 octobre, voui, c'est bien. Donc, c'est HALLOWEEN! La fête des vampires, des loups-garous, des fantômes, des esprits frappés, des sorciers, des ectoplasmes et autres joyeusetés qui font secrètement hurler de joie Tim Burton le soir lorsqu'il regarde Dracula contre Frankenstein.

Et pour me mettre dans l'ambiance, je vais vous raconter une histoire d'horreur, hin hin hin...

Allons-y.

LA MALÉDICTION DU MANOIR DE SAFOULATROUÏ

(ça peut aller, comme titre - faut juste que j'invente une histoire autour. Par contre la police d'écriture est pas terrible.)

LA MALÉDICTION

DU MANOIR

DE SAFOULATROUÏ

(là, c'est bon. On y va!)

La nuit était tombée sur la campagne profonde de la France du même nom, comme disait Jean-Pierre Raffarin (ah non zut, c'était pas France profonde, c'était France d'en bas. On s'en fout, on continue.) Donc la nuit était tombée, et Oldi roulant dans sa voiture en toute illégalité se trouva perdu dans la campagne avec un réservoir d'essence quasi à sec. (j'ai déjà les chetons.) Il était accompagné de son ami... euh... appelons-le Culbuto. (ça devrait lui faire plaisir. Et de toutes façons, même si ça lui plaît pas, si vous saviez ce que je m'en f... !) Donc dans la voiture en panne d'essence, l'ambiance était oppressante à souhait, avec des chauves-souris qui voletaient dans les cieux embrumés en répandant une odeur de suaire partout.

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Attendez, j'ai un peu la trouille là. Un instant, que je me reprenne.

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Ouf, ça va mieux. On y retourne.

L'ambiance était donc oppressante; à ce moment, les collines lointaines revêtent leur suaire gris (en anglais: "distant hills wear a shroud of grey" - les fans d'ICO comprendront), bref c'est pas la joie.

Et Oldi et Culbuto (oui, je sais c'est nul comme nom, mais il veut pas que je l'appelle Tefarci. J'me comprends.) sortirent pour chercher de l'aide. Il ne restèrent pas dans la voiture pour deux raisons: premièrement, dans les histoires d'horreur, les héros ne restent jamais en sécurité, et deuxièmement Oldi et Culbuto souffraient tous deux de ce que Sigmund Freud aurait appelé une psychopathie refoulée, et personne n'avait envie de se réveiller le matin en s'apercevant que durant la nuit il avait malencontreusement étranglé son compagnon avec la ceinture de sécurité. Bref, Oldi et Culbuto (si vous supportez pas ce nom je pourrais l'appeler aussi Toju, Hawk ou encore Rcharif,  mais j'ai décidé de l'appeler Culbuto alors basta, et arrêtez de m'interrompre comme ça, ça me fiche les chocottes)...

BREF - Oldi et Culbuto virent un manoir où ils pourraient passer la nuit. Ils ne s'en doutaient pas, mais ce manoir était hanté par le fantôme du Jardinier-Boucher, le célèbre tueur en série qui avait fait sensation en découpant ses 1752 victimes avec une tondeuse à gazon. Ne se doutant de rien, les deux héros entrèrent dans le manoir rempli de toiles d'araignée et de rats, avec des portaits inquiétants aux murs, des bruits étranges venant de la cave et... glups... venant de la cave et du grenier, des chauves-souris suceuses de sang volaient au plafond en sortant en masse de la porte menant à la crypte où reposaient une vingtaine de cadavres de ducs que l'on disait cannibales et celui d'une duchesse cousine d'Elisabeth Bathory qui aimait se baigner dans le sang encore fumant des petites filles qu'elle capturait au village et à lesquelles elle cousait les lèvres pour qu'elles ne crient pas et...

BLOF!

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NOTA: Oldi étant une personne très émotive, il s'est évanoui suite à un excès de terreur. Vous aurez la suite de l'histoire à Halloween prochain - avec un peu de chance.

@+

CULBUTO: Et moi, je fais QUOI maintenant? On me laisse tout seul? Hééééhooo? Y'a quelqu'un? Hé les mecs vous êtes pas drôles! HEY, me laissez pas tout seul ici! Venez me chercher! VIIITE! PITIÉÉÉÉÉ!!!!!!!