• Enfin de retour de vacances...


    Je vous passe les détails. Mais quand on a un accident mécanique et qu'on est obligé d'éviter d'aller trop vite...


    Bref, 950 kilomètres sans emprunter d'autoroutes ni de voies rapides, c'est un peu long. Mais bon, chuis pas là pour vous raconter ma vie, hein... En tout cas merci à ceux qui sont venus me rendre visite sur oldi land durant mon absence!


    Et pour commencer en beauté ce nouveau thème ("Cinquième acte"... si, si, c'est écrit là), je vais vous raconter une petite blague qui, d'après ce que je lis à l'arrière du livre, est "d'un humour irrésistible", bien que personnellement je la trouve d'une tristesse et d'un mauvais goût à pleurer. Mais bon, il en faut.


    Cela se passe dans un laboratoire où l'on fait des expériences sur les animaux, plus précisément des rats, pour concevoir des produits tristes.


    (au moment où vous lisez ceci, sur le territoire national, 257 personnes viennent de se tirer une balle dans la bouche.)


    Cela se passe dans un laboratoire donc, qui se trouve je sais pas trop où. (N'insistez pas pas, je sais pas où il se trouve. D'ailleurs, si vous saviez ce que je m'en fous... je me fous autant de l'emplacement de ce labo que les moules se foutent de la politique tibétaine. Il pourrait se trouver à Paris, Londres où même à Guantanamo, bien que là-bas, ce n'est pas sur des rats qu'on fait des tests, mais plutôt sur des vilains méchants sur lesquels on étudie la résistance du corps d'un taliban jeté du quinzième étage ou sur lesquels on prouve de façon scientifiquement irréfutable que quand on coupe la tête d'un terroriste, il devient muet.)


    BREF (arrêtez de m'interrompre s'il vous plaît, c'est déjà assez difficile de raconter cette histoire déprimante, je me suis déjà enfilé 3 fois la corde autour du cou), dans ce labo travaille un employé qui, pour un salaire misérable, classe les rats selon leur sexe. Toute la journée, il met les rats, après un bref examen, dans la boîte RATS MÂLES ou dans la boîte RATS FEMELLES.


    RESTEZ ASSIS, c'est pas fini. Ce soir-là, après avoir beaucoup travaillé, l'employé se prépara à rentrer chez lui. Il mit son manteau quand soudain arriva son supérieur, un type pas gai, comme on dit dans les canoës.


    - Hé bien, dit-il, vous partez? Vous avez fini votre travail ?
    - Non, j'ai pas encore entièrement fini. Je ferai ça demain.


    Pour justifier ses paroles, l'employé désigna du doigt une troisième boîte, sur laquelle était marquée PIEDS-NOIRS.


    - Pieds-noirs? C'est quoi, ça, Pieds-noirs?!
    - Ben, c'est les rats pas triés.


    ...


    ...


    C'est fini. Vous pouvez commencer à pleurer.


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  • RESUME DE L'EPISODE PRECEDENT:


    Allez les lire-vous même, ha, ha! Non, je rigole. L'inspecteur, toujours en enquête, se fit agresser par un homme en robe jaune à pois verts qui le maltraita. Vengeaaaaance... (grr.)







    L'inspecteur Manchot continua son enquête à la fin de laquelle il se rendit compte que le professeur Héloir faisait partie d'une mystérieuse secte d'hommes en robes jaunes à pois verts qui veillaient sur un mystérieux secret à savoir que Jésus en réalité n'avait jamais ressuscité mais avait un frère jumeau qui avait pris sa place après sa mort de ce fait l'inspecteur trouva la planque des hommes de cette secte qui se réunissaient sous un dolmen et étaient chacun d'un signe astrologique différent - d'où le titre de la série - et arrêta le dirigeant de cette secte qui avait tué le professeur car celui-ci voulait révéler le grand secret à tout le monde pour faire la une du journal du même nom et sur ce l'inspecteur alla se prendre un diabolo menthe bien mérité FIN.


    NB: vous m'excuserez pour cette fin un peu brutale mais je pars en vacances demain et comme je rentrerai tardivement il y a fort à parier que ce "feuilleton de l'été" n'aurait plus mérité son nom si j'avais plus étalé l'histoire. De plus je n'avais aucune idée de ce que j'allais écrire alors j'ai fait du remplissage. Tiens, pour ma série de l'été de l'année prochaine, il faudra que je me souvienne qu'il vaut mieux trouver un scénario à l'avance plutôt que d'inventer au jour le jour - surtout pour une enquête policière, of course.


    Je vous redonne rendez-vous en septembre. A plus donc.


    PS: pour ceux qui voulaient connaître la réponse à la question figurant à la fin de la 2ème partie, sachez que l'inspecteur ne put rien dissimuler à sa femme. Le lendemain de la fin de l'enquête, celle-ci demanda le divorce et comme l'inspecteur n'avait, lui, jamais touché un appareil ménager de sa vie, il mourut un mois plus tard étouffé sous un tas de linge non repassé. C'est bien triste.
    La vie est injuste.


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  • Kastwatupu, encore et toujours... vous vous souvenez de ce croquis que j'avais fait, baptisé "conduit d'évacuation des eaux usées"? Eh bien voilà ce que ça donne dans la version finale.
    Mes copains disent qu'en BD je me débrouille mieux pour les décors que pour les personnages... je sais pas si c'est vrai mais en tout cas j'en suis plutôt fier de celui-là, il faut bien l'avouer ^^

     


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  • RESUME DE L'EPISODE PRECEDENT:


    Un meurtre ignoble a été commis avec de la violence, de la barbarie et du fil de fer barbelé peint en rose. La victime était le professeur Héloir. L'inspecteur Manchot mène l'enquête...







    L'inspecteur Manchot courut vers son destin, après s'être pris un cornet de frites, une glace à 4 boules, 75 cigarettes et avoir piqué un petit roupillon. Après être allé chercher dans le laboratoire du professeur Héloir, il conclut qu'il n'y avait que dalle comme indices. Un cheveu, un revolver, une liasse de papiers, un testament, une table pleine de farine sur laquelle se dessinaient des empreintes digitales inconnues, bref rien qui permette à l'enquête d'avancer.


    L'inspecteur pédalait dans la semoule, ainsi que sur son vélo puisqu'il allait rentrer chez lui et classer cette affaire.


    Soudain un homme habillé en robe jaune à pois verts fit un croche-patte à son vélo! L'inspecteur tomba dans une flaque de boue, ce qui le fâcha profondément - connaissez-vous un seul inspecteur qui aime se faire ruiner son imper? Le travelo se révéla plus coriace que prévu puisque Manchot ne réussit pas à lui faire ses prises de judo dont il a le secret.


    Trois minutes plus tard, l'inspecteur était accroché nu sur une grille de fer avec un ruban rose dans les cheveux et, collée sur le ventre, une affiche sur laquelle se dessinait la troupe complète des 10 Commendements. C'était le plus horrible spectacle auquel il ait été donné d'assister.


    - J'espère que ça te servira de leçon, dit l'homme en robe jaune à pois verts.
    - Va chier, lui répondit l'inspecteur avec amour.
    - Je répugne à tuer les gens, même si c'est moi qui ai tué le professeur Hél... houps! Euh, je vais donc te laisser en vie. Pour l'instant. Mais c'est dommage que je n'aie pas du fil de fer barbelé peint en ros... euh, non, rien.
    - Merci.
    - Tu es plus coopératif que ce pauvre professeur Hél... euh... bref.
    - Je te retrouverai. Et je m'occuperai de toi.
    - C'est exactement ce que disait le professeur Hél... euh. Bref, à la prochaine!


    L'inspecteur vit son agresseur s'éloigner dans la nuit noire.


    Tout cela ne l'avançait pas plus. Qui avait tué le professeur Héloir?! Le mystère restait entier.


    A SUIVRE...


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